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2014 c'est maintenant

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12 juillet 2013

Prévention des risques : Des élus têtus et courageux (tout le contraire des élus adréchois...)

 

images j'ai quelquechose à dire

 

De Léognan à La Brède, en passant par Martillac et Saint-Médard-d’Eyrans, une réunion a permis de faire le point trois semaines après les intempéries.

Le soleil qui domine depuis quelques jours enfin n’a pas fait oublier le triste souvenir des inondations. Il y a à peine trois semaines, le secteur de la communauté de communes de Montesquieu avait été particulièrement touché par le double effet de fortes précipitations et de sols saturés entraînant un débordement des rivières. L’objectif est désormais de dresser un bilan des incidents et de présenter le travail déjà amorcé pour éviter ces désagréments. En proposant une réunion mercredi matin au siège communautaire, le président Christian Tamarelle, également maire de Saint-Médard-d’Eyrans, tenait à s’adresser aux maires du canton et aux habitants sinistrés.
« Élus têtus »
De Léognan où certains commerces du centre-bourg ont subi des dégâts des eaux, à la zone industrielle de Martillac qu’il a fallu évacuer, en passant par Saint-Médard-d’Eyrans et La Brède, où plusieurs foyers ont été également touchés, Christian Tamarelle expliquait qu’il n’avait pas attendu pour solliciter et obtenir un rendez-vous auprès des services de la Préfecture : « Le sous-préfet est resté inflexible à nos demandes et n’a pas retenu le caractère d’urgence de notre situation. Croyez bien que l’on ne va pas attendre pour mettre des solutions en place. On va prendre nos responsabilités ». Un propos que retient particulièrement Céline Liébaut-Jany, maire de Cabanac, vice présidente en charge de l’environnement à la CdC : « Une des vertus cardinales des élus, c’est d’être têtu ». Mais, face à la complexité et la longueur des procédures concernant le traitement des cours d’eau qui ne rentrent pas dans le domaine public, Michel Dufranc, maire de La Brède n’y va pas non plus par quatre chemins : « Face à l’immobilisme de l’État, nous prendrons nos responsabilités et s’il le faut, on saisira le juge des référés en l’absence de réponses adaptées ».

Un état des lieux
Le ton est donné. Sans aller jusqu’à vouloir créer un rapport de force, Christian Tamarelle entend clairement solliciter régulièrement les services habilités et obtenir les réponses adaptées, au fur et à mesure de l’avancée des dossiers. « L’avantage, c’est que la CdC a récupéré en 2006 la compétence de la gestion et l’entretien des bassins versants. Nous avons déjà engagé 1,8 million d’euros. Sans cela, il faut croire que les dégâts auraient été certainement plus importants. »

D’ailleurs, un état des lieux suffisamment précis dressé par Emmanuel Norena, technicien rivière à la CdC Montesquieu permet d’évaluer les causes de ces inondations. L’influence de l’urbanisme et la viticulture, la présence de trois moulins sur le Saucats à La Brède, les deux grilles fixant une retenue au niveau du château de La Prade, l’absence d’un bassin de rétention à proximité de la ZAC du Filleau ou bien le busage sous dimensionné du Reys figurent en bon ordre à l’origine des problèmes constatés sur le terrain.

Les élus de la communauté de communes se sont engagés à réaliser un programme de travaux pluriannuel, mais celui-ci devra tenir compte des capacités d’investissement de la collectivité. La conclusion revient au président : « Nous sommes décidés à prendre nos responsabilités et faire des travaux, mais ces initiatives n’exonèrent en rien les obligations des propriétaires riverains de faire ce qu’il faut pour l’entretien des rivières "

 

Sylvain

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6 juillet 2013

MENSONGES, CLIENTELISME sont le socle de la PROPAGANDE ELECTORALE

feu de frejus

2005 : feu de Fréjus

2005 : 1 800 ha dont région de Fréjus (5 juillet), évacuation de milliers de vacanciers, 6 campings touchés, 800 hectares ravagés...

Ce PRRIF qui dérange !

 

Le Plan de Prévention des Risques Incendie (PPRIF) est une servitude d’utilité publique annexée au document d’urbanisme (POS ou PLU) s’imposant à tous - particuliers, entreprises, collectivités et Etat -, le PPRif constitue l’unique procédure spécifique à la prise en compte des risques d’incendie de forêt dans l’aménagement du territoire, notamment lors de la délivrance des permis de construire.

 Le Plan de Prévention des Risques incendie de forêt répond à trois objectifs majeurs :

  • mettre à disposition un document cartographiant les secteurs exposés au risque
  • réduire la vulnérabilité des personnes et des biens déjà exposés au risque
  • éviter que de nouvelles personnes et constructions ne s’implantent dans les zones les plus exposées

Le PPRif permet d’identifier les zones soumises au risque d’incendie de forêt en évaluant leur niveau de danger. Il est évident et important de limiter le développement de l’urbanisation dans les zones exposées au feu de forêt afin de ne pas exposer davantage de personnes à ce risque, de sécuriser l’intervention des pompiers. Ce travail de zonage conduit à limiter ou interdire les implantations humaines dans les zones les plus exposées au risque, à prescrire la réalisation d’équipements visant à améliorer la défense contre l’incendie, ainsi qu’à limiter la probabilité de départ de feu.

Les différentes zones à risque :

Zone rouge : aléa d’incendie de forêt fort à exceptionnel

Zone B1 : zones exposées à un aléa d’incendie de forêt moyen à fort

Zone B2 : zones exposées à un aléa moyen et dans lesquelles la défendabilité est adaptée au niveau de risque ou est susceptible d’être améliorée

Zone B3 : zones exposées à un aléa faible

Une zone dénommée « zone blanche » exposée à un risque très faible voire nul

Au-delà de l’obligation de débroussaillement imposée par la code forestier, le règlement prévoit également des mesures et recommandations applicables aux constructions existantes, lesquelles sont à la charge des propriétaires et sont à appliquer dans un délai déterminé.

 Ce document qui s’impose à tous est élaboré par les services de l’Etat en association avec les collectivités territoriales et notamment les communes. Il s’élabore en sept étapes :

1-      Arrêté de prescription par le Préfet

2-      Elaboration du projet

3-      Consultations réglementaires

4-      Enquête publique

5-      Projet éventuellement modifié

6-      Arrêté d’approbation du PPRif

7-      Prise en compte dans les documents d’urbanisme (Plan Local d’Urbanisme ou carte communale).

 Comme un Plan Local d’Urbanisme (PLU), le PPRif peut être révisé à l’occasion de l’apparition de nouveaux phénomènes, de modifications significatives de l’aléa ou après la mise en place de nouvelles mesures de protection. Sa révision suit alors la même procédure que son élaboration.

Ce n'est donc pas un dispositif qui s'établit au Ka par Ka selon l'intérêt de tel ou tel citoyen et des  relations personnelles bonnes ou mauvaises qu'il entretient avec le Maire !

20 juin 2013

Roquebrune-sur-Argens : Le maire auditionné par

Roquebrune-sur-Argens : Le maire auditionné par la police

Mr Luc Jousse, maire UMP de Roquebrune-sur-Argens, a été auditionné par la police à Toulon entre le 18 et le 19 juin apprend-t-on sur le site Internet de France 3.

Cette audition intervient semble-t-il suite à la publication d'un rapport de la Chambre régionale des comptes qui épingle la gestion de la ville.

31 mai 2013

CAVEM : les dernières nouvelles !

Communiqué de presse du groupe « Fréjus, c’est chacun de nous ! »

31 mai 2013

 

Gabegie

Après la démission de M. Thollet qui travaillait depuis 20 ans à l’Office de Tourisme, il faut dire les choses clairement.

Y a-t-il de l’opacité dans la gestion de l’Office de Tourisme ?

La réponse est oui.

Depuis que nous sommes élus, tous les ans, nous demandons le budget définitif des Nuits Auréliennes (le In et le Off) et tous les ans, la Mairie nous répond négativement. Autre exemple : la Maire a fait voté une délibération pour engager une personne « en charge de la coordination de l’évenementiel » à l’Office du Tourisme. Tous les ans nous demandons sa fiche de poste et tous les ans on nous répond par la négative. Voilà ce qu’est une gestion opaque d’un office municipal : on refuse aux élus d’accéder aux éléments comptables d’un organisme municipal.

Y a-t-il des erreurs dans la gestion financière de l’Office de Tourisme ? La réponse est encore oui. Entre 2009 et 2012, le budget total de l’ODT est passé de 2,1 M à 3M. C’est une augmentation de 50% ! Pourquoi une telle hausse ? Y a-t-il 50% de touristes en plus à Fréjus ? 50% d’activités proposées aux touristes en plus ? Malheureusement non. Mais les fréjussiens, eux, ont dû payer les largesses de la Mairie : entre 2009 et 2012, les subventions municipales pour l’Office de Tourisme ont augmenté elles aussi de 50% ! En 2012, les fréjussiens ont payé la bagatelle de 900 000 euros pour subventionner l’Office de Tourisme ! Il a fallu en effet éponger le trou laissé par la mauvaise gestion des concerts aux Arènes en 2012. Une remarque au passage : la Mairie a décidé de prendre en 2013 la même société organisatrice des concerts qu’en 2012… Chacun appréciera la pertinence de ce choix. Quant à nous, nous le disons clairement : Messieurs Mougin et Brun sont évidemment responsables de cette situation. Aucun des deux ne peut le nier et ils doivent en tirer toutes les conséquences qui s’imposent. Nous n’oublions pas non plus Mme Cauwel qui défend bec et ongles ce choix et se charge elle-même de distribuer les places gratuites comme bon lui semble…

On pourrait se désespérer d’une telle situation. On pourrait aussi gloser longuement sur le spectacle navrant offert par ceux qui dirigent la ville depuis 2008, sur les démissions qui se succèdent, les revirements d’alliance, et maintenant les règlements de compte. Mais les fréjussiens ont besoin qu’on leur parle de leur ville, de la situation réelle, et de l’avenir. Le tourisme est une force pour notre ville, qui a besoin d’un Office sain, aux finances équilibrées, claires, et raisonnables. C’est en tout cas ce discours que nous, élus d’opposition, voulons leur tenir, maintenant et pendant la campagne municipale qui arrive. Un discours de vérité, un discours de responsabilité, le discours du redressement de la ville. Il y a urgence !

 

Le groupe « Fréjus, c’est chacun de nous ! »

16 mai 2013

La distribution de l’eau et l’assainissement Non Collectif.

image robinet

 

Depuis le 1er janvier 2013 pour la commune des Adrets de l’Esterel, la compétence Eau potable et Assainissement relève de la CAVEM.

Si la commune fonctionne en Régie directe dans les deux champs de compétence il n’en reste pas moins que c’est la CAVEM qui pilote ces deux régies. Ainsi un nouveau Service « Régies Adrets » a été créé.

 Les travaux de création et d’extension restent sous l’égide exclusive de la CAVEM. Ces travaux sont suivis en direct par les Services Techniques de la CAVEM en partenariat avec les mairies concernées.

L'assainissement non collectif sur la commune des Adrets-de-l'Estérel est contrôlé par les SPANC, et coordonné par LES ADRETS-DES-L’ESTEREL pour une population desservie de 2768 habitants.

Le Service Pour l’Assainissement Non Collectif - SPANC est suivi par le service d'hygiène de la CAVEM.

Par arrêté préfectoral en date du 13 décembre 2012, la Communauté d’Agglomération Var Esterel Méditerranée, issue de la fusion de la Communauté d’Agglomération de Fréjus / Saint-Raphaël et de la Communauté de Communes Pays Mer Estérel avec extension à la Commune des Adrets de l’Estérel, a été créée.

En application de ses statuts, la Communauté d’Agglomération Var Esterel Méditerranée est compétente en matière d’assainissement non collectif.

La Loi sur l’Eau du 3 janvier 1992, confirmée sur ce point par la Loi sur l’Eau et les Milieux Aquatiques du 30 décembre 2006, et par la Loi portant Engagement National pour l’Environnement du 12 juillet 2010 (dite Grenelle II) exige la réalisation des contrôles de terrain de l’ensemble des dispositifs d’assainissement non collectif présents sur le territoire.

La réalisation de ces contrôles de terrain est une obligation pour toutes les communes. Ils visent à vérifier que les installations d’assainissement non collectif ne portent pas atteinte à la salubrité publique et/ou à la sécurité des personnes, et permettent la préservation de la qualité des eaux superficielles et souterraines, en identifiant d’éventuels risques environnementaux ou sanitaires liés à la conception, à l’exécution, au fonctionnement, à l’état ou à l’entretien des installations.

Qu’est-ce que la Compétence Eau ?

Cette compétence a pour but uniquement la Distribution d’Eau Potable aux usagers de la CAVEM ; la production d’Eau Potable relavant de la compétence du Syndicat des Eaux du Var Est (SEVE).

La CAVEM construit et entretien des réservoirs d’eau potable (plus de 40 unités répartis sur tout son territoire avec des volumes différents : de 500 m 3 à 15.000 m3) ainsi que les réseaux permettant la distribution à tous les abonnés des 5 villes la constituant.

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14 mai 2013

RACISME !!!

14 mai 2013

M. Vialatte n’est pas digne d’être un élu de la

M. Vialatte n’est pas digne d’être un élu de la République.

Ca suffit ! L’UMP varoise ne peut pas laisser ses dirigeants dire cela.

Après Mme Pons, c’est M. Vialatte, autre député UMP, qui fait une déclaration d’inspiration raciste.

En réaction aux violences qui ont eu lieu lundi 13 mai lors de la célébration de la victoire du PSG, celui-ci a en effet déclaré sur Twitter :

« Les casseurs sont sûrement des descendants d’esclave ils ont des excuses. Taubira va leur donner une compensation ».

M. Vialatte n’était sans doute pas au Trocadéro mais il prétend savoir qui a fait cela : des membres des communautés antillaises, sénégalaises, maliennes, ivoiriennes de France.

Comment nier qu’il s’agit ici de préjugés racistes ?

Comment tolérer qu’un député de la Nation puisse faire de tels amalgames ?

Que dirait M. Vialatte si on lui disait que pour affirmer quelque chose comme ça, il faut au moins être descendant d’esclavagiste ? Il ne serait pas content et il aurait bien raison. Qu’il prenne le temps de méditer sur ce point…

Je demande solennellement à l’UMP fréjusienne de se désolidariser de ces propos inacceptables, qui sortent du champ d’idée républicain, et qui sont indignes d’un élu qui doit être exemplaire.

Nous demandons à Messieurs Tosi, Mougin, Tosello, (et pourquoi pas à M. Brun ?) de nous rejoindre pour condamner cette phrase honteuse.

Le racisme, les amalgames, les préjugés, se nourrissent de l’indifférence et du silence : nous ne pouvons pas laisser passer cela !

 

Sébastien Poinat

Conseiller Municipal (PS) de Fréjus

 

6 mai 2013

AU FIL DES QUESTIONS !

Lorsque nous avons décidé d’ouvrir ce blog, nous espérions bien sur qu’il intéresse un maximum d’adréchois, mais nous n’osions imaginer que vous seriez rapidement nombreux à vous manifester.

Certains d’entre vous s’étonnent que nous « modérons les commentaires ». Cette règle s’impose. En effet nous recevons de nombreux commentaires qui mettent nommément en cause X ou Y et qui souvent sont agrémentés de « noms d’oiseaux ». Le débat démocratique mérite que l’on ne franchisse pas certaines limites, donc nous ne publions pas les commentaires « ras les pâquerettes » voir pouvant être diffamatoires. Souvent les courriels tres vindicatifs souhaitent être publiés avec la signature "anonyme" : ce n'est pas notre conception de la démocratie participative.

 Nous tirons d’ores et déjà différents enseignements :

-        Il y a de l’électricité dans l’air mettant en évidence des rivalités, des contentieux. Parmi les courriels reçus, nombreux mettent en cause des élus adréchois accusés de pratiquer une politique de copinage.

-         Les adréchois ne se sentent pas assez impliqués dans les choix faits par les élus.  Le Maire est incontestablement celui qui est en ligne de mire. On relève des expressions telles que « il est le seigneur ici », il est ne « roule que pour lui », «  son  dada c’est sa maison forestière qu’il nous impose sans consultation ». « Son vagabondage politique » est un reproche fréquent venant aussi bien d’électeurs UMP que d’électeurs des gauches ou des centres. Pour les militants de gauche " il ne sera pas surpris d'apprendre qu'ils ne soutiendront pas lors des prochaines consultations une liste conduite par un élu UMP".

-         Différents sujets qualifiés « de problèmes sérieux » sont  cités :

  • La qualité environnementale de la commune (principal reproche : on se s’occupe que de ce qui est autour de la Mairie avec mention particulière défavorable pour le marché couvert qui aurait coûté cher et dont l’architecture « ne permet même pas aux fourgons des producteurs d’y accéder ».),
  • Le grand parking est inaccessible pour les personnes âgées à cause de la pente de ses rampes,
  • Plus de places « handicapés » devant la Mairie, dont les places de stationnement « sont occupées par les employés municipaux ou les élus »,
  • L’accès aux services de la Mairie ne respecte pas les normes « handicap», la mise aux normes obligatoire pour 2015 indispensable sera onéreuse « ce sujet ne préoccupe pas nos élus », « il faut donner une priorité à ce sujet avant d’engager des fonds pour créer un « maison de la foret » et un "nouveau bâtiment office du tourisme ". Nombreux adréchois évoquent un double emploi de l’office du tourisme avec le comité des Fêtes ou l’inverse.
  • La « mauvaise gestion » des épisodes neigeux est souvent évoquée.
  • Concernant la gestion de la déchetterie le problème des horaires est récurrent : la déchetterie devrait être ouverte le dimanche, cela limiterait les dépôts sauvages dans les logettes (les observations majoritaires concernent le domaine de Séguret).
  • Nombreuses sont les questions ou les interrogations quant aux cas de non respect des règles d’assainissement individuel. Beaucoup d’adréchois parlent du « règle de non droit » qui serait cautionnée par la Mairie.
  • Egalement beaucoup de mises en doute quant au respect des règles d’attribution des marchés, divers artisans adréchois évoquent le fait que ce serait "toujours les mêmes  artisans ou pme ayant un parent parmi les élus qui bénéficieraient de la  manne municipale ".
  • Le non passage à la semaine scolaire des 4 jours ½  au motif que d’après certains élus " d’ici 2014 il y aura eu un gouvernement qui changera cette décision " fait également débat, au même titre que le centre aéré étant fermé pendant les vacances scolaires, les parents doivent inscrire leurs enfants dans d’autres aérés de communes voisines (les enfants sont alors privés des activités sportives qu’ils pratiquent en période scolaire).

Voici pour l’essentiel un compte rendu des sujets abordés par les adréchois.

 

 

1 mai 2013

ASSAINISSEMENT : Nouveau scandale !

Les Maires de Fréjus et de Saint Raphael se font remarquer une nouvelle fois !

Adrechois  : vous pouvez applaudir ... Vive la CAVEM

Nous vous  invitons à lire un article  :

http://anticor83.over-blog.com/décharges-illégales-de-six-fours-à-fréjus/saint-raphaël

18 avril 2013

SMIDEV

La réunion du conseil syndical du SMIDEV de ce jour sera un tournant dans la vie de ce syndicat intercommunal.

Il est déterminant. Il permet à la fois de reconnaître que Michel Tosan (Maire de Bagnols en Fôret), a raison depuis le début. La gestion de la décharge des lauriers a été, pendant des années, pour le moins obscur.

Les élus l'ont reconnu en votant très majoritairement la délibération présentée par Jacques Mignon.

D'autre part, dans un élan de sincérité réel, Jacques Mignon a prit une position très claire. Ses propos "Je n'ai pas envie de me retrouver à la Farlède pour préserver l'amitié entre le maire de Fréjus (Elie Brun) et Monsieur Pizzorno".

Ces propos, tenu en public, et en présence d'un huissier de justice sont lourd de sens.

Jacques Mignon est un élu de droite depuis plusieurs décennies. Nous avons eu avec lui des échanges plus que vifs. Force est de reconnaître, qu'il a montré a tous son honnêteté intellectuelle aujourd'hui.

Nous le saluons. Maintenant, reste au juge de dire le droit. Nous sommes confiants.

 

Tarik Belkhodja

Secrétaire de la section PS.

Fréjus, Bagnols en Fôret, Les Adrets de l’Esterel

16 avril 2013

Il n’est pas de bon ton de critiquer l'intercommunalité !

A nos cumulards

L'intercommunalité est une décision lourde de conséquence pour une ville et souvent le choix est teinté d'arrière pensées politiques. L'absence d'information et de concertation est particulièrement regrettable. Comment expliquer autrement le refus des élus adréchois d'interroger leurs administrés sur l'avenir de leur territoire ?

 Quelle a été la part de calcul politicien chez nos élus ?

En 1999 la communauté Fréjus + St Raphael totalisait 77.000 habitants, donc l’intérêt de l’intercommunalité mise en place est simple à comprendre : c’est un moyen efficace pour prendre le contrôle des villes et villages situés dans sa périphérie immédiate !

Ce choix de rejoindre le littoral commence par se résumer en une perte de souveraineté : où est le bénéfice potentiel pour les citoyens ?

alors qui n'est pas

 Quant aux « avantages financiers » annoncés ils sont du domaine du rêve car il existe un principe de réalité confirmé par le bilan financier actuel des différentes communautés d'agglomérations existantes : aucune Communauté d'Agglomération n'a su réduire le poids de la fiscalité, bien au contraire ! Seules quelques communautés de communes ont su maîtriser la charge financière…

Pourtant pour bien comprendre le discours de nos élus il est bon de savoir de quelle intercommunalité on parle ? Lors des réunions de bistrots ou de têtes à têtes élargis à quelques uns, on entretient savamment la confusion entre une "Intercommunalité de projets" dont tout le monde comprend l'intérêt et la nouvelle "administration intercommunale" qui est mise en place et dont on évite généralement de préciser l'organisation, et surtout le coût de cette dernière…

L’idée de départ de l’intercommunalité était qu’elle serait un moyen pour renforcer les collaborations entre villes voisines, partager la piscine, la patinoire, la cuisine centrale, bref réduire le poids des charges fixes.
Mais dans notre cas la commune abandonne une grande partie de sa souveraineté à un Etablissement Public Intercommunal (EPCI) qui lève ses propres impôts, fixe sa propre politique et l’impose (quel que soit le nombre d’élus siégeant).

Dans un monde ou la transparence politique est souvent à géométrie variable, dans un monde ou les entreprises ne reculent devant rien pour remporter des marchés publics, dans un monde ou certains élus se révèlent âpres au gain ou incompétents (NDLR: parfois les deux à la fois), cette intercommunalité nouvelle ouvre grand la porte à tous les excès.

Sur le plan de la démocratie participative, les règles de fonctionnement éloignent les élus de la sanction directe des électeurs.

Les conseils communautaires sont moins transparents que les conseils municipaux, pour la seule raison que beaucoup de décisions peuvent être déléguées au seul bureau de l'intercommunalité. Ainsi les élus minoritaires sont sous-représentés dans les organes de décision. Plus grave encore, un groupe politique peut facilement prendre le contrôle d'une  Intercommunalité. Il lui suffit pour cela d'être majoritaire au sein d'une majorité de coalition.

 La vigilance s’impose donc car la porte des abus de pouvoir d'un groupe politique, les embauches sur des motifs politiques accroîtront le recul de la démocratie locale et feront la part belle à l’absence de réduction de la pression fiscale... voila qui devrait suffire pour alerter les Adréchois et leur donner envie de s’interroger sur le bienfait de revenir sur ce choix imposé.

 

Bonne Lecture.

 

 

 

 

16 avril 2013

ASSAINISSEMENT

COMMUNIQUE DE PRESSE du Parti Socialiste

 Suite à l’article paru dans le Canard Enchainé, les sections du Parti Socialiste de l’agglomération prennent acte du montant de 6.5 millions d’euros de surfacturation par l’exploitant.

Pour défendre l’intérêt de tous nos administrés nous exigeons que chaque euro perçu en trop par Monsieur PIZZORNO soit rendu à la population sous la forme des investissements indispensables à la modernisation du site des lauriers. Nous serons vigilants.

 

Tarik BELKHODJA                                     Lionel BERT                           

Fréjus, les Adrets, Bagnols                 Roquebrune sur argens  

 

Alain BARKATE                            Jean Pierre MEYNET

Puget sur argens                                  Saint Raphael

15 avril 2013

Pourquoi !

Un mouvement de citoyens adréchois a manifesté sa volonté de promouvoir une pratique politique nouvelle, visant à renforcer la démocratie locale, à favoriser la participation active du plus grand nombre à la vie de la cité et à défendre les valeurs traditionnelles d'équité sociale et de solidarité portées par une gauche réunie.

 

Ainsi est née l’associationD.P.A.E., constituée par des citoyens qui affirment leur volonté de travailler notamment dans la perspective des prochaines élections municipales.

 

Ils vous invitent à les rejoindre dans un mouvement de rassemblement sur la base d’un engagement citoyen au service de l'intérêt général.

 

En 2014, il sera indispensable de présenter au suffrage des candidats à la fois expérimentés, capables de se faire entendre, privilégiant prioritairement l'intérêt collectif de la population, offrant ainsi une vraie alternative crédible et progressiste  à même de rectifier les mauvais choix d’une maladroite gestion de droite menée par l’actuelle équipe municipale.

 

Malgré quelques réalisations positives, pour lesquelles des élus se déclarant de  gauche ont pris toute leur part en cautionnant les choix du Maire, notre Commune doit impérativement trouver un souffle nouveau, l’actuelle majorité manquant de vision pertinente et lucide.

 

De nombreux adréchois attendent donc qu’un nouveau projet mobilisateur, solidaire, efficace, réellement ancré dans notre époque soit préparé dès maintenant.

 

Nous aurons l’occasion au fil des mois de revenir sur différents sujets liés au développement de notre cité.

 

Parmi nos nombreux sujets de préoccupation :

 

CAVEM l’intercommunalité imposée

 

Sur ce sujet majeur, le Maire, prompt à la pratique du clientélisme politicien,  a  fait un choix personnel sans aucune consultation citoyenne. Depuis la fin de l’année 2012 certains de nos élus sont devenus acteurs de cette intercommunalité imposée « entérinée à l’unanimité par le Conseil Municipal *»

Certes, il s’agit là d’un grave déni de citoyenneté qui illustre la considération que le premier magistrat accorde à ses électeurs, mais c’est surtout un coup de poignard dans le dos des adréchois, car la première conséquence de cette décision « capitale pour notre avenir* » est que les adréchois devront financer la déconfiture financière de Fréjus, avant de tirer un quelconque avantage de cette tromperie  ! 

 

L’équipe 2014, c’est maintenant

 

 

* lettre du maire – décembre 2012

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